Huître plate, la Bélon
Ces huîtres de 3 ans élevées en eaux profondes,
suivent un premier affinage sur nos parcs découvrants
de Carantec et bénéficient d’un deuxième affinage
pendant 2 mois dans la fameuse rivière du Bélon.
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Fine de Bretagne
Fine de Bretagne
Des huîtres de 3 ans transférées pour un premier
affinage de 6 mois en baie de Carantec sur
des parcs hauts spécifiques qui leur sont réservés
afin de parfaire leur qualité.
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La Spéciale de Bretagne
La spéciale de Bretagne
Une huître plus charnue et croquante,
élevée et affinée à Carantec.
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La Perle Noire
La perle noire
Après leur maturité, les huîtres de 4 ans sont transférées
sur des parcs découvrants. Leur chair est ferme, croquante,
très épaisse avec la particularité d’un goût de noisette
et une infime arrière touche sucrée qui lui confèrent
son appellation “super spéciale”.
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La Maison Cadoret a aussi sélectionné
une gamme d’huître de Marennes d’Oléron :
La Fine Claire
de Marennes-Oléron
Une huître élevée en Bretagne, Normandie ou à Marennes Oléron affinée en “Claires” d’où son nom “Fine de Claires”. Elle peut, suivant les saisons, prendre une couleur verte à l’intérieur.
La Label
Rouge
Charnue et croquante, elle provient des parcs d’Utah Beach en Normandie et est affinée en rivière du Bélon pendant 3 mois afin de peaufiner son goût sans modifier les caractéristiques typiques de sa chair.
La pousse
en Claire
Résultat d’un minutieux travail, sa chair est à l’image de la Spéciale, à ceci près que sa couleur est plus nacrée et sa forme encore plus ronde. Elle est sucrée et se prolonge longuement en bouche après l’avoir dégustées. La Pousse en Claire est une huître d’exception.
La vie d’une huître
Les naissains, en quelque sorte, les « bébés huîtres », débutent leur croissance sur les parcs,
lesquels sont découverts à marée basse. Les huîtres peuvent ainsi s’oxygéner plus aisément.
Il existe deux techniques d’élevage : l’élevage en poche et l’élevage au sol.
Chez Cadoret, l’élevage au sol est privilégié pour préserver toute la finesse et la diversité de goût.
Il demande, bien sûr, beaucoup plus de main-d’œuvre, mais il présente le grand avantage de laisser à la nature
le “soin de faire les choses”, les huîtres se développant alors à leur gré. Elle implique aussi de disposer
d’une flotte de bateaux, les “dragueurs” qui pêchent les cultures.
Les huitres font l’objet d’attentions quotidiennes de la part des « éleveurs »,
il en va en effet du cycle des marées, et ce n’est qu’au bout de trois ou quatre ans
que les équipes de Jean-Jacques Cadoret les récoltent.